Le Mari Exigeant Dévergondages 17
LE MARI EXIGEANT Dévergondages 17
Cette suite s'est faite attendre, mais les aléas de la vie font, que l'histoire aurait pu s'arrêter là. Alors !...
Odile Laribeau, née de Rissac, est une jolie femme de quarante-huit ans, mariée à un homme de cinq ans son aîné et heureuse en famille. Elle est responsable des ressources humaines dune société bordelaise. Durant six mois, elle est courtisée par Edmond Gardel, un notaire retraité de soixante-quatre ans. Invitée à déjeuner en tête-à-tête chez Edmond, Odile sest laissée embrasser par son hôte. Victime dun chantage, et pour éviter le déshonneur, elle cède au notaire.
« Offerte ! Jaime cet adjectif un peu symbole de dépendance,
qui sous-entend ne pas avoir le droit de refuser ».
Mme Amaury de Montfort.
Odile est contrainte de se faire prendre en levrette par Edmond dans les toilettes dun restaurant. Edmond lui impose de ne pas porter de soutien-gorge, ni de culotte. Il lui achète des vêtements sexy et des sous-vêtements coquins. Il met à sa disposition un appartement discret pour quelle puisse y ranger ses tenues affriolantes. Cest dans ce lieu surprenant quil la prend en photo dans des poses plus quosée et quil la prépare à la sodomie en lui introduisant un premier rosebud. Le soir même, son mari la trousse à la hussarde dans le vestibule de leur maison sans quelle ne proteste, jouissant tout de même de cette situation. Le lendemain, lorsquelle retrouve Edmond, celui-ci la doigte, la révélant à sa plus grande confusion « femme fontaine ». Il lui introduit un rosebud dune taille supérieure dans lanus. Puis, Edmond oblige Odile à sexhiber sur une terrasse de restaurant, où un couple en fait de même. Dans les buissons dun parc les deux hommes prennent leur femme et pour finir les deux filles font lamour entre elles.
Le lendemain matin, au réveil, Odile est presque violée par Michel, son mari, mais surtout, il lui déflore le trou du cul sans vergogne
La journée se passe à faire lamour, comme cela ne leur était jamais arrivé en vingt-cinq ans de mariage.
Michel, le mari dOdile lemmène pour trois jours dans un lieu quil a tenu secret, cest en fait lauberge où elle a cédé à Edmond pour la première fois. Son mari la prend sans ménagement, alors quelle est angoissée quil découvre son infidélité.
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Saint Macaire
À lauberge des « Feuilles dAcanthe » vers dix heures du matin, après une nuit où son mari la encore prise amoureusement, il la branle alors quelle est encore dans son sommeil. Odile se réveille doucement sous les sensations délicieuses des doigts qui fouillent les chairs qui laissent déjà sécouler le jus de sa jouissance nocturne.
Elle ouvre les yeux et voit le visage de son mari, attentif à ses réactions. Michel se décide à aborder un sujet quelle redoutait entre tous.
« Ma chérie, tu mouilles de plus en plus depuis quelque temps. Cest très étonnant. Tu naurais pas un amant par hasard ? »
Odile, se souvient aussitôt de ce quelle a envisagé si justement Michel abordait cette question épineuse. Bien que très gênée de devoir parler de son intimité, elle lui lâche.
« Oh ! Michel, que vas-tu imaginer ? Tu sais, jai consulté ma gynécologue. Comme à 48 ans je suis en pré ménopause, elle ma prescrit des hormones et depuis, je suis en permanence humide cest très gênant, mais elle ma dit que cétait normal et quil fallait que je my habitue.
« Au contraire, ma petite caille, cela facilite notre entente et je constate que tu as de plus envie de faire lamour »
Odile rosit à cette évocation de sa sexualité,, qui, elle le sait bien est due à lextrême habileté dEdmond qui a su la révéler. Elle est tout de même étonnée quaprès toutes ces années, son époux ose parler de cela. Pourvu quil ne découvre pas comment elle sest décoincée !
« Justement, ma chérie, tu te souviens, au début de notre mariage, je tavais demandé de te libérer un peu plus, tu avais même accepté dessayer une sortie dans un club libertin, tu te souviens ? »
Odile devient livide. Il ne suffit pas que ce coquin de notaire lentraîne dans des situations dégradantes, il faut à présent que son mari sy mette. Elle connaît la vie antérieure de Michel dans les grandes lignes, elle sait quavant leur mariage, lorsquil était en poste à Paris, il avait fréquenté des bars et des clubs libertins avec une de ses maîtresses. Elle avait même accepté, de le suivre, pensant quil pourrait la quitter si elle ne cédait pas. Heureusement, il avait renoncé
À présent, alors quelle prend du plaisir avec son amant et son mari, voilà que tous les deux veulent lui faire subir les pires avanies !
« Je vois que tes souvenirs te reviennent ma chérie. Oh, je ne te demande pas daller comme à lépoque dans un club échangiste, mais jaimerais bien, à présent que tu jouis comme une femme normale, que tu acceptes davaler ma semence et que je puisse te sodomiser, jaimerais bien que tu te montres plus coquine lorsque nous sommes ensemble et que tu allumes les autres hommes devant moi. »
Michel propose daller faire un tour dans la région oh combien viticole dans laquelle ils se trouvent, et de profiter de cette occasion pour aller goûter des vins et passer des commandes. Odile revêt pour cette journée la jupe longue à godets de bohémienne, aux dessins de fleurs champêtres, et la blouse paysanne aux plis froncés, avec un décolleté bateau, ainsi que les sandales blanches, le tout acheté justement sous les arcades de la place de Saint Macaire par Edmond.
Elle ne peut oublier la honte incroyable, justement ici à Saint-Macaire, lorsquEdmond la troussée dans la rue. Mais aussi aux Abricotiers de la Garonne, lorsque le serveur et deux clients ont pu contempler son entrejambe dénudée, ainsi que son minou, scène qui sest reproduite à Bordeaux, lors dun déjeuner à la brasserie. Elle se souvient même quelle a pris du plaisir - elle ne peut se le cacher - que malgré lhumiliation ressentie, elle a aussi éprouvé un certain trouble à se savoir observée et détaillée dans toute son intimité : de même lorsque son suborneur la photographiée, lui faisant prendre des poses presque obscènes, où elle sest sentie belle et désirable pour la première fois de sa vie.
Va-t-elle devoir encore une fois sexposer ? Justement, son mari la retrousse et lui enlève son shorty ne tenant pas compte de ses protestations, puis, il lui dégrafe son soutien-gorge, trouvant que ses seins ballottant dans son corsage sont du meilleur effet. Dailleurs dans la voiture, Michel lui demande de retrousser sa jupe de plus en plus haut et même de sortir ses seins de la blouse. Il y a peu de circulation sur ces routes surtout viticoles, mais ils croisent ou doublent tout de même des tracteurs, doù les paysans juchés sur leur siège ne perdent pas une miette des appas quOdile offre à leurs yeux écarquillés.
Dans les caves où ils dégustent différents vins, si elle ne fait pas voir sa chatte, des yeux fureteurs plongent dans le décolleté de sa blouse baillant outrageusement, alors que, dans la presque obscurité des chais des mains baladeuses sen donnent à cur joie sur ses fesses. Odile a horreur de ces familiarités dun autre âge, mais surexcitée depuis la veille par les agissements de son mari, elle est troublée par cette ambiance provocante et sensuelle à la fois. Au retour, Michel engage lautomobile dans un petit chemin de terre longeant un bois et ils font lamour en pleine nature.
Le soir, son mari lui dit quil a trouvé un restaurant remarquable, il fouille dans le sac de voyage de son épouse et en sort une jupe très courte en cuir noir et un chemisier noir transparent en soie sauvage. LorsquOdile veut dabord passer un slip et un soutien-gorge, il len empêche.
« Mais mon chéri ce nest pas possible, mon minou se verra lorsque je serai assise et ma poitrine à travers ce corsage sera par trop visible ! »
« Cest justement ce que je veux. Je veux que tu sois la plus salope possible mon amour. Tu me plais ainsi il y a tellement longtemps que jen rêve. »
Les deux époux partent à pieds à travers les ruelles médiévales, éclairées par des lampadaires aux lueurs jaunâtres. Odile manque sévanouir lorsque sur la place du marché son mari se dirige vers la bâtisse du XVIe siècle où se loge « Les Abricotiers de la Garonne ». Cest ce fameux restaurant où Edmond connaît particulièrement Agnès la patronne et où le serveur la prise en photo sur la demande du notaire, pendant quelle se masturbait allongé dans un fauteuil, les cuisses grandes ouvertes devant deux clients qui nen perdaient pas une miette. À sa plus grande honte, elle a même joui bruyamment, en gémissant et en poussant des cris.
Elle ne peut même pas senfuir, car Michel la tient fermement par le bras. Cest sûr, elle va au-devant dun affront lorsquelle va se retrouver devant la patronne de létablissement. Justement, elle sapproche avec les cartes et les menus à la main. Elle salue les deux arrivants comme si elle les voyait pour la première fois, leur demandant où ils veulent sinstaller : il y a une terrasse extérieure qui donne sur la place du marché et à lintérieur, une grande salle aux meubles régionaux anciens. Agnès propose également le jardin, où sous des tonnelles fleuries se trouvent des tables et des fauteuils en osier. Michel choisit le jardin et Odile se retrouve très près de la table où Edmond la obligée à montrer ses appas. Elle subodore que son mari va vouloir la même chose.
La commande prise, cest justement le jeune serveur qui la prise en photo dans une position très embarrassante qui vient leur servir le vin commandé. Bien quil ne laisse aucun signe quil peut la reconnaître, il ne peut sempêcher dadmirer les seins nus, bien distincts sous la soie transparente du corsage et de jeter un coup dil rapide sur le haut des cuisses à la limite du bas-ventre de la belle mature. Le repas fin se déroule dans une atmosphère tendue pour Odile. Il y a peu de clients dans le jardin, alors que la terrasse extérieure est pleine et quun mariage se déroule dans la salle. Le jeune serveur, il a au plus vingt ans et une très belle gueule dange avec ses cheveux blonds, la reluque toujours avec attention lorsquil vient servir ou desservir. Le couple est installé à lécart sous une tonnelle éloignée, Michel demande à sa femme de se soulever et de se rasseoir sur sa chaise en relevant sa jupe pour poser ses fesses nues sur le siège en osier. Puis, il lui demande davancer les fesses jusquau bord et décarter ses cuisses. Lhumiliation de mettre sa pudeur à rude épreuve est encore une fois insupportable pour Odile, pourtant, elle obéit à son mari sans broncher, fermant les yeux lorsque le garçon vient pour la énième fois sans beaucoup de raison auprès de leur table.
Ils sont seuls à présent, car les quelques clients qui restaient sont partis. Agnès la patronne est très occupée avec ses serveuses par le mariage et les deux serveurs de la terrasse ne chôment pas. Michel apostrophe le jeune serveur.
« Mon garçon, je vois que la dame tintéresse beaucoup. Allons approche, tu peux toucher sa chatte, elle ne demande que ça ! »
Odile, bien quelle éprouve un profond dégoût pour lignominie dans laquelle son époux la pousse inexorablement, sent que ses sens sont excités par cette situation singulière. La cyprine humidifie sa fente vulvaire et, lorsque le jeune homme touche timidement les chairs enflammées, elle laisse échapper un gémissement, soufflant un « continue » à peine audible au garçon. Celui-ci plonge ses doigts dans la conque béante, alors que Michel donne lordre à sa femme de se saisir de la verge du jeune serveur. Celle-ci, dans un état second, dégrafe le pantalon et en extrait un mandrin dune belle taille. Odile branle la tige, retroussant le prépuce pour faire sortir un gland congestionné dun beau rouge sombre.
« Suce-le » lui intime son mari. Odile devient rouge comme une écrevisse, mais elle se penche sur le vit du garçon, ouvre la bouche et absorbe le gland. Surexcité depuis le début du repas, il tressaute bientôt entre les lèvres féminines et lâche un flot de foutre que la malheureuse a bien du mal à avaler. La sève du jeune homme déborde des lèvres pour couler sur le menton et dans le cou, dégoulinant même entre les seins au travers louverture du corsage. Le garçon se rajuste rapidement et sen va sans demander son reste. Odile se rend aux toilettes pour se nettoyer et remettre de lordre dans sa tenue. Michel règle la note à la patronne du restaurant et le couple quitte bientôt le site de ses exploits.
De retour à lhôtel Michel a une idée diabolique, pour mettre à lépreuve son épouse sans quelle sen doute. Pourtant, pour la première fois, il ne veut pas quelle subisse un affront quelle ne pourrait supporter.
Il demande à Odile de revêtir sa nuisette, mais de rester nue en dessous, puis il lui propose de lui mettre un foulard sur les yeux pour que ses sensations soient décuplées. Enfin lui dit-il pour jouer, il lui demande de sallonger sur le lit, et lui attache délicatement les poignets et les chevilles aux montants verticaux du baldaquin attenant à leur lit avec des cordelettes sorties de sa valise. Odile, bien quun peu inquiète, mais amusée que son mari se décide à agrémenter leur partie de jambes en lair sest laissé faire.
Michel lui dit quil a oublié de commander du Champagne et, ne voulant pas que la serveuse la voie dans cette position, il descend lui-même le chercher. Il referme la porte derrière lui, ne laissant pas sortir de la bouche de sa femme, la protestation quelle sapprêtait à émettre. Pourtant, à peine une minute plus tard, elle entend la porte souvrir et se refermer aussitôt. Devant le silence que ne trouble aucune parole ni aucun bruit, Odile saffole.
« Michel ? Cest toi ? Réponds-moi ? Il y a quelquun ? Oh ! Mon Dieu, Michel arrête de me faire peur
»
La voix dOdile est de plus en plus angoissée. Si quelquun est dans la pièce que va-t-il lui arriver ? Il va la violer ? Avec lassentiment de son mari qui la envoyé ? Ce ne peut être que lui qui veut la faire prendre par un autre homme, comme il le lui a laissé entendre tout à lheure au restaurant. Tout à coup, elle sent un corps qui sassoit sur le lit.
« Michel, dis-moi que cest toi, je ten supplie ! Ne me laisse pas me faire violer ! Monsieur, je ne veux pas, allez-vous en, ne me touchez pas Nonnnnnnn ! »
À ce moment, elle sent une main qui retrousse sa nuisette déjà très courte jusque sous ses seins. La main frôle son ventre, le masse légèrement et se pose sur son pubis, raclant de ses ongles les poils de sa toison. Odile est tétanisée, se sentant impuissante, attachée au lit, bras et jambes écartés, proie offerte à qui voudra bien la prendre. Elle ne peut douter que ce soit avec laccord de Michel, que lhomme sest introduit dans la chambre et quil sapprête de toute évidence à la baiser. Les doigts viennent titiller le clitoris, repoussant le capuchon pour effleurer le bourgeon qui déjà pointe en avant, réclamant la caresse bienfaisante. Soudain, deux doigts sinfiltrent dans la vulve et plongent à lintérieur du vagin. Odile ne peut sempêcher de pousser un bref gémissement. Un troisième doigt rejoint les deux autres, sagitant régulièrement dans la moule suintante, se concentrant sur la paroi interne, là où une petite surface spongieuse fait bondir dans ses liens la belle mature. Les doigts sagitent furieusement dans les chairs vaginales, arrachant bientôt des feulements à la femme qui jouit, crie et hurle son bonheur. Elle ne peut se retenir alors quelle ne sait même pas qui est lhomme qui la masturbe aussi bien. À part Edmond, jamais elle na été doigtée ainsi, ce ne peut donc être son mari.
Elle entend des froissements de tissu et comprend que lhomme se déshabille. Il ne va pas tarder à la pénétrer. Elle sent la cyprine qui dégouline entre ses cuisses, elle a bien senti, comme la première fois avec Edmond, léjection de la femme fontaine quelle est devenue, surtout lorsquelle est doigtée. Lhomme a dû en avoir plein la main, mais il na rien dit. Soudain, elle sent deux mains sur ses cuisses et un pénis, encapuchonné de son manteau en latex qui se glisse entre ses grandes lèvres béantes. Elle est certaine à présent que ce nest pas son mari qui lui fait une farce. La verge qui la pénètre est plus grosse et plus longue. Après tout, puisquil le veut, autant quelle y prenne du plaisir. Elle accompagne donc son baiseur en y mettant tout son cur, mais aussi son corps, projetant son bassin au-devant de la queue qui la pilonne, grognant, gémissant jusquà beugler sa jouissance devant lacte impur dans lequel elle se délecte. Lorsque lhomme sétend sur elle, épuisé, elle croît reconnaître lodeur de son homme.
Lorsquil lui enlève son bandeau, elle le traite de salaud. Michel, la verge toujours engagée dans le pertuis de sa femme, lembrasse amoureusement, riant de son stratagème. Se promettant intérieurement que, la prochaine fois, ce soit un inconnu qui la baise devant lui.
« Tu as bien joui ma petite salope de linconnu qui te baisait. Dailleurs, tu ne perds rien pour attendre ma cochonne adorée. Cest aussi la première fois que je te vois éjecter du liquide de la chatte tellement tu étais excitée. »
« Oh ! Jai tellement honte » lâche Odile en pleurnichant, faussement contrite, car elle sait très bien, quavec Edmond, elle expulse à chaque fois lorsquil la doigte.
« Je ne sais pas ce quest ce liquide mon chéri, je ne crois pas que ce soit de lurine. Cela mest déjà arrivé une fois, toute seule, alors que
que je me faisais du bien. Pardon, mon amour ! »
« Tu te masturbes en cachette ma petite putain, mais cest très bien, au contraire et tu vas le faire devant moi dorénavant. Je veux en profiter et voir ma petite femme senvoyer en lair ! »
Tout en se parlant, Michel a détaché sa femme qui se trouve un peu déconfite, puis, sétant retiré du vagin conjugal, il retire la capote dun gode creux avec ceinture dans lequel il avait engagé son pénis, trompant ainsi sa femme sur la dimension du sexe qui la pénétrait. Odile nen revient pas dune telle supercherie et mi-souriante, mi-fâchée, embrasse son mari, flattant tout de même la vraie verge quelle prend en bouche, suçant avec application le bâton de chair qui navait pas joui. Michel ne tarde pas à laisser son foutre se répandre dans la gorge dOdile, maculant les lèvres et le menton de sa tendre épouse.
À suivre
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